Mieux vaut prévenir que guérir ou prendre soin de soi au bon moment!
Lorsque vous pensez à recevoir un bon Shiatsu, êtes-vous habituellement dans une période de l’année* où vous êtes débordé par le travail ou encore épuiser par les demandes du quotidien ? Boulot, école, famille et responsabilités multiples prennent-elles graduellement le dessus sur votre capacité à gérer votre stress et votre fatigue?
Recevoir un Shiatsu à ce moment de nécessité fait plein de sens, mais saviez-vous qu’attendre à ce moment précis de fatigue et d’abattement pour recevoir un Shiatsu, est déjà, en quelque sorte, un peu trop tard…
Étonnamment, s’il y a un bon moment pour recevoir un Shiatsu, c’est bien maintenant! En effet, en médecine traditionnelle chinoise (MTC), l’été est considéré comme la saison de l’abondance, le moment de l’année où l’énergie Yang est à son apogée. À l’image du soleil, qui à midi est à son zénith, l’été est le moment où « l’énergie cosmique » nous est entièrement accessible.
Jeu de la dame et lecture du visage
Quand on a le visage de l’emploi !
La semaine dernière, je suis tombé sur la minisérie « Le Jeu de la dame » (The Queen’s Gambit), sur Neflix. Cette série raconte l’ascension fulgurante d’une jeune orpheline introvertie de 9 ans, Elisabeth Harmon, qui désire devenir de façon viscérale la meilleure joueuse d’échecs au monde.
L’histoire commence au milieu des années 1950 et se poursuit dans les années 1960, époque décrite dans la minisérie comme étant assez machiste. Ce qui implique que notre jeune héroïne devra prendre sa place et gagner le respect de ses adversaires, ce qu’elle réussira à accomplir avec brio.
Dans la distribution des rôles d’une série ou d’un film, quand l’acteur ou l’actrice choisie, possèdent le meilleur profil pour incarner le personnage qui leur est attribué, il y a parfois quelque chose de magique qui se produit. On croit au personnage, on s’attache « au bon » ou on réagit négativement à l’infâme vilain. Je crois que, sans le savoir, les responsables de la distribution des rôles ont un instinct particulier qui leur permet de percevoir dans la physionomie de leurs interprètes lequel ou laquelle remplira mieux les demandes propres aux rôles qu’ils veulent attribuer.
L’hiver, bien plus que du froid et de la poudrerie.
Nous sommes à quelques jours du solstice d’hiver, la nuit la plus longue de l’année, nuit annonçant malgré tout, le triomphe prochain de la lumière sur les ténèbres.
Ne vous y trompez pas, au cœur de cette longue nuit, dans le silence de la terre endormie, les semences entendent déjà l’appel du renouveau qui s’annonce tout doucement. Cette période du « grand Yin », nous invite en tant qu’humain, à l’apprentissage de l’humilité, à un retour à la simplicité et à l’essentiel.
Cette phase où l’énergie est en profondeur, silencieuse, « utérine », nous invite à chercher en nous, la lumière intérieure qui nous manque si cruellement à l’extérieur. Le solstice qui s’annonce dans quelques jours nous rappelle que cette lumière nous cherche aussi.
Bouddha et la COVID-19
La pandémie actuelle de la COVID-19, représente pour beaucoup d’entre nous une période de remise en question et d’incertitude qui est bien réelle. Depuis le mois de mars, la pandémie du coronavirus a mobilisé la planète entière et chamboulé notre quotidien.
Cette situation inhabituelle nous affecte tous sur le plan physique, mais également et surtout, sur le plan psychologique. Dans un contexte comme celui que nous vivons tous depuis quelques mois, de nombreuses personnes vivent « par ricochet » des épisodes de stress, d’anxiété, de frustration, et souvent beaucoup d’impuissance.